UFC QUE CHOISIR AVEYRON

Qui sommes-nous ?

L’association locale (AL) UFC-Que Choisir de l’Aveyron

est affiliée à la Fédération nationale UFC-Que Choisir.

L’association locale s’appuie sur le réseau de la Fédération nationale, extrêmement efficace ; Fédération qui compte plus de 150 AL et plus de 140 000 adhérents.

Quelles sont nos missions ?

– Défendre les intérêts des consommateurs face aux professionnels de la vie économique : distributeurs, fabricants, commerçants, artisans, démarcheurs. Cette défense s’étend aussi aux litiges opposant les consommateurs à des collectivités locales ou des administrations.

– Conseiller les consommateurs dans les formalités et démarches à entreprendre.

– Réaliser des enquêtes sur les prix, les services, la qualité des produits, le respect des normes.

– Informer les consommateurs sur les sujets d’actualités, sur les évolutions législatives ou réglementaires relatives à la consommation.

L’AL est exclusivement gérée et animée par des bénévoles, lesquels sont eux-mêmes adhérents.

Ces bénévoles ont acquis des compétences grâce à des formations régulièrement renouvelées, et une expérience qu’ils mettent à la disposition des consommateurs.

Vous pouvez venir les rencontrer lors des permanences.

La Loi encadre l’accompagnement des consommateurs dans le traitement de leurs litiges, lequel est réservé aux adhérents dont l’adhésion est en cours de validité : Loi N° 90-1259 du 31 décembre 1990 (article 63).

Mais, il importe de noter que nous ne sommes pas des prestataires de service. L’adhésion à notre AL nous conduit à vous apporter le maximum de conseils, d’aide et d’accompagnement dans le traitement d’un litige. Mais, l’association, n’a pas d’obligation de résultat.

Vous pouvez vous-mêmes nous rejoindre, en tant que  bénévoles, offrant ainsi vos propres compétences, votre expérience, votre disponibilité, au service d’une consommation plus respectueuse, plus responsable.

Enfin, une assemblée générale est organisée chaque année. Le conseil d’administration de l’AL présente le bilan de l’année écoulée, expose ses projets et se tient à l’écoute des demandes et suggestions des adhérents. Tout consommateur dont l’adhésion à l’AL est en cours de validité reçoit une convocation à participer à cette AG.

23 mars 2021

Journée mondiale des consommateurs

Alimentation-Santé-EauConsommation

Journée mondiale des consommateurs – Avec Quel produit, ayez le pouvoir d’agir 

A l’occasion de la journée mondiale des consommateurs, et alors que l’UFC-Que Choisir fête ses 70 ans cette année, l’UFC-Que Choisir de l’Indre-et-Loire offre aux consommateurs la possibilité de se mobiliser et d’agir pour une consommation plus responsable. Avec le lancement officiel de Quelproduit, application gratuite et indépendante de décryptage des produits alimentaires, cosmétiques mais aussi ménagers, l’association locale les invite à participer à un « scanathon géant » pour faire la chasse aux substances indésirables.

Quelproduit : l’outil pour faire la chasse aux substances indésirables

Après Quelcosmetic, l’UFC-Que Choisir est heureuse d’annoncer le lancement de Quelproduit, application unique pour décrypter la composition des produits cosmétiques, alimentaires mais aussi ménagers. Compte tenu du brouillard informatif et du marketing sur les emballages, cette application 3 en 1 entend être le compagnon de courses des consommateurs pour les aider à consommer plus sain.

Il y a d’ores et déjà plus de 370 000 produits en base : 230 000 cosmétiques, 134 000 alimentaires, et 6 000 ménagers. Dans le détail, du fait de la présence d’ingrédients indésirables, 31 % des produits cosmétiques présentent une exposition au risque moyen ou significatif pour les consommateurs adultes et 40 % des détergents sont déconseillés ou à éviter. On trouve notamment des perturbateurs endocriniens suspectés dans certains détergents tels que le nettoyant multi-usage ‘St Marc dégraissant au bicarbonate (1), ou au rayon cosmétiques avec par exemple l’autobronzant de L’Oréal ‘Sublime bronze (2) ou le lait pour le corps de Mixa antidessèchement intensif peaux sèches (3). D’autres produits cumulent les substances problématiques, tels que la lessive liquide « Super Croix Bora Bora énergisant (4) » où nous en avons relevé pas moins de 8.

Quant aux produits alimentaires 49 % ont des Nutri-score D ou E, soit les plus mauvais scores nutritionnels. Pire, dans certains d’entre eux, on retrouve des ingrédients suspectés d’être cancérogènes, par exemple dans le ‘Coca-cola sans sucre (5) ou dans le croque-monsieur ‘tendre croc sans croûte’de Herta (6).

Au-delà de l’information donnée sur le produit scanné, Quelproduit propose systématiquement des alternatives plus saines dans la même gamme de produits recherchés

Aux utilisateurs maintenant d’enrichir cette base et de déjouer la stratégie des marques qui ne jouent pas le jeu de la transparence. L’UFC-Que Choisir les incite donc à télécharger gratuitement l’application pour découvrir ses fonctionnalités et scanner un maximum de produits à l’occasion de leurs achats.

 

(1) Un parfum suspecté d’être perturbateur endocrinien, le butylphenyl methylpropional.
(2) Un filtre UV suspecté d’être perturbateur endocrinien, le ethylhexyl methoxycinnamate.
(3) Un adoucissant suspecté d’être un perturbateur endocrinien, le cyclopentasiloxane.
(4) Un agent stabilisant suspecté d’être toxique pour la reproduction le sodium metaborate anhydrous, un conservateur particulièrement allergisant la methylisothiasolinanone, 5 parfums allergisants hexylcinnamal, 3,7-dimethyloctan-3-ol, salicylate d’hexyle, butanone dodecylthio-cyclohexenyl-, limonene, ainsi qu’un conservateur allergisant la benzisothiasolinone.
(5) Un colorant suspecté d’être cancérogène, le caramel au sulfite d’ammonium (E150d).
(6) Un conservateur suspecté d’être cancérogène, le nitrite de sodium (E250).

17 mars 2021

Toujours un train de retard,

Distributeur de billet inaccessible,

La gare d’Ozoir-la-Ferrière, en Région Parisienne, ferme régulièrement.

Or, le distributeur de billets étant situé à l’intérieur du bâtiment, il est impossible d’acheter des titres de transport quand les portes sont closes. L’autre jour, nous avions un rendez vous médical à Paris. Nous sommes donc montés à bord du RER sans tickets. A l’arrivée, nous avons été contrôlés et avons écopé d’une amende de 50.00€ chacun. Nous n’avions par l’intention de frauder à l’occasion de ce voyage, mais nous n’avons pas eu d’autre choix. Les agents qui nous ont verbalisés, nous ont toutefois conseillé d’écrire au service client de la SNCF afin d’être remboursés.

17 mars 2021